Programme

Une ville entreprenante

Une ville entreprenante

Vivre bien suppose d’en avoir les moyens. Lorient connaît un taux de pauvreté avoisinant les 20 %. Cela fait donc de la politique économique un aspect du programme très attendu par nos concitoyen-ne-s. La pandémie de Covid_19 aggrave la situation et nous oblige à envisager des mesures urgentes pour relancer et accompagner les acteurs économiques.

Créer des emplois reste notre objectif pour les Lorientaises et les Lorientais. Mais pas n’importe quels emplois ! Nous souhaitons participer à l’amélioration des conditions de travail des plus précaires et créer des emplois de haute valeur ajoutée également. Pour cela, il est nécessaire d’utiliser le levier de la puissance publique, mais surtout d’anticiper les besoins du monde de demain.

Post-covid

  • Créer une cellule extra-municipale composée d’élus et d’acteurs économiques pour accompagner les entreprises en sortie de crise : fonds de secours, aménagement de la ville, relations avec les bailleurs
  • Prolonger la durée d’exonérations des droits, redevances et taxes locales des commerçant.es et entreprises impactées jusqu’à fin 2020
  • Proposer des bons d’achats bonifiés +25% par la Ville en contrepartie d’une utilisation chez les commerçant.es lorientais.es reconnaissables via un label. Dans un premier temps 100 000 € financés par la collectivité. Exemple : j’achète un bon à 10€. Sa valeur est de 12,5€ dans les commerces de Lorient.
  • Soutenir des programmation culturelle et sportive afin de permettre aux acteurs locaux du secteur de retrouver le plus rapidement une activité
  • Repenser le centre-ville : piétonisation progressive, parkings souterrains gratuits avec mise en place de navettes,

Transition écologique et attractivité du territoire

1 Faire de Lorient LA capitale bretonne des transitions

Notre ambition est que Lorient soit identifiée comme l’une des villes-moteur de l’urbanisme écologique, des mobilités actives, de la culture populaire et du bien vivre. La transition écologique est un formidable levier d’attractivité pour encourager l’installation de nouveaux entrepreneurs sur le territoire et la venue de nouveaux salariés résidents.

2 Créer des maisons des transitions

Point central de notre programme, nous envisageons la création d’espaces d’échanges, d’expérimentations et d’innovations économiques, sociales et environnementales afin d’engager le territoire dans les transitions nécessaires pour préparer l’avenir. Ces lieux d’information et de formation auront pour objectif de mettre en relation les citoyens qui souhaitent changer leurs pratiques et modes de consommation, et les porteurs d’idées ou de projets pour y parvenir.

3 Création d’un fond de garantie citoyen au niveau intercommunal avec la participation de la banque des territoires 

Permettre aux citoyens de soutenir directement des projets d’investissement sur leur territoire en donnant un sens à notre épargne. Les projets soumis seront conditionnés à des critères sociaux, environnementaux… 

4 Personnaliser le service d’accueil et d’accompagnement des porteurs de projets 

Créer un service de facilitation entre les différentes institutions économiques (CCI, Chambre des métiers, Agglo, Sem, Audelor, Initiative Pays de Lorient) à destination des potentiels nouveaux dirigeants d’entreprises afin de communiquer les informations nécessaires à leur installation et au cours des différentes phases de leur développement.

Ce qui peut préfigurer la réflexion sur une réorganisation plus optimisée à terme de toutes ces structures.

5 Attirer les entrepreneurs et les salariés à venir s’installer à Lorient

Les entrepreneurs, porteurs de projet mais aussi les nouveaux arrivants ont besoin d’informations précises sur le territoire. Nous mettrons au point un guide répertoriant les diverses offres de la ville en matière d’éducation, de transports, de cultures, de loisirs et de services médicaux afin de favoriser l’installation d’entreprises, l’embauche de nouveaux salariés ou de leurs conjoints sur le territoire.

6 Se doter d’une politique ambitieuse d’achats publics responsables

Nous modifierons en profondeur la méthodologie d’achat de marchandises et de services de la Ville. Nous baserons cette méthodologie sur un véritable travail préalable sur les appels d’offres de façon à correspondre au mieux aux besoins de la transition écologique et de l’économie locale.

7 Aider les entreprises à répondre aux appels d’offres

D’autre part, nous constituerons avec les entreprises et commerçants locaux une structure associative destinée à aider et à préparer la réponse aux appels d’offres pour les structures économiques qui ne peuvent consacrer le temps nécessaire à la fabrication administrative de leurs réponses.

8 Soutenir la création de groupements d’achats

La ville encouragera le groupement d’achats entre les différents services de la ville, voire entre la ville et les habitants de façon à diminuer les coûts. Par exemple, nous grouperons l’achat de gaz de chauffage entre la Ville et les organismes de logement social, ce qui pourrait engendrer une économie de 20 à 30 % sur la facture des charges de chauffage des locataires de HLM.

Commerce

9 Mettre fin au développement de grandes surfaces commerciales sur le territoire

Il ne suffit pas de dire que l’on souhaite « redynamiser le centre-ville ». Pour y arriver, il est nécessaire de ne pas continuer l’extension des zones commerciales accessibles uniquement ou presque en voiture. Nous souhaitons donc engager un moratoire sur les surfaces commerciales. Notre liste ne soutient pas ce modèle de consommation de masse qui détériore les relations humaines, les conditions de travail des producteurs, mais également nos paysages.

10 Préserver les petits espaces commerciaux dans les quartiers

La vie d’un quartier nécessite souvent des commerces de proximité. Ce sont ces commerces qui permettent aux habitants de se rencontrer, mais ce sont aussi eux qui évitent les déplacements intempestifs. Réinstaller des commerces dans les quartiers, c’est réduire la mobilité contrainte et donc la circulation, au bénéfice de tous.

11 Mener une réflexion sur les Halles de Merville

Les Halles de Merville posent question car les commerçants y sont à l’étroit, certains espaces sont peu adaptés. Nous voulons faire des Halles de Merville, dans le cadre des dispositifs de rénovation des centres villes, un grand espace symbolique de la nouvelle alimentation et d’un commerce du futur : espaces de déambulation agréables, ergonomie des étals et des stockages, hygiène, autonomie alimentaire, service de conciergerie, dégustation de produits locaux, espaces de restauration et d’échanges, cours de cuisine, etc… Le projet sera largement débattu avec toutes les parties prenantes : usagers, commerçants, producteurs, prestataires de services, etc.

12 Couvrir la place Paul Bert

Cette petite place du centre-ville tend à devenir un lieu d’animation. Mais elle est dépendante du temps qu’il fait ! La couvrir permettrait des animations commerçantes par tous les temps !

13 Adopter une politique « dynamique » contre la vacance des commerces

Une rue où se multiplient les commerces vacants n’est pas propice à l’achat. Nous souhaitons réduire ces périodes de vacance en taxant les baux des locaux commerciaux vacants de l’hyper centre, afin de financer l’animation du centre-ville et l’accompagnement de nouveaux commerçants. Nous contractualiserons avec les propriétaires pour assurer entre deux locations des baux temporaires mettant en avant des activités économiques atypiques en lien avec des entreprises adaptées ou avec le milieu de l’économie sociale et solidaire.

14 Offrir de nouveaux services en faveur du commerce de centre-ville

L’avenir des commerces en centre-ville dépend aussi de la qualité globale du service que les clients y trouveront : espaces de déambulation apaisée (piétonisation, mini- parcs urbains, jeux pour enfants), conciergerie (dépôt de ses achats, caddies, poussettes, colis), prêt de matériels (caddies, parapluies, sacs, …), livraison en vélo à la maison ou au parking, animations adultes et enfants… Avec les commerçants et les usagers, nous développerons ce type de service pour relancer le commerce.

15 Recrutement d’un manager du centre-ville

Faire du centre-ville un lieu de vie différent, mixant commerces indépendants, artisans et grandes enseignes. Un lieu de vie varié, animé et festif qui se démarque, par son originalité et sa diversité, des commerces de périphérie et d’internet. Pour que Lorient se différencie, retrouve son ADN créatif

Économie de la mer

16 Faire de Lorient un pôle majeure de la réparation navale, en impliquant les professionnels

Les entreprises spécialistes de la réparation navale qui sont les utilisateurs de l’élévateur de Keroman, ne sont pas associées à la politique de l’administration gestionnaire Sem Keroman, en charge de la gestion des infrastructures portuaires. Nous proposerons donc au niveau de l’Agglomération et en concertation avec la région Bretagne, propriétaire du port, la création d’une nouvelle structure de gestion du pôle Réparation navale au sein de laquelle pourra siéger l’Interprofession du Port de Lorient, afin de faire de Lorient un pôle majeur de la réparation navale en France.

17 Acquérir de nouveaux outils portuaires indispensables au développement

L’élévateur à bateaux désormais vieillissant peut tomber en panne à tout moment par une casse de matériel ce qui pourrait paralyser l’aire de réparation navale et donc l’activité globale des entreprises. Il faut donc collaborer avec la Région pour investir dans un nouvel élévateur. La discussion doit reprendre avec Naval Group afin d’étudier la possibilité d’exploiter la cale sèche dite forme n°2 du site afin que les entreprises de la réparation navale civile puisse enfin être dotées d’une infrastructure leur permettant d’intervenir sur des grands navires jusqu’à 150m qui représentent un marché à très grand potentiel comme notamment les cargos qui font escale au port de commerce.

18 Optimiser la communication de l’Aire de Réparation Navale.

Le port de Lorient qui propose une large offre d’entreprises performantes se doit d’avoir une action de communication beaucoup plus dynamique sur internet, dans les médias et les évènements spécialisés afin d’attirer plus d’armateurs Français et Européens à venir faire réparer son navire.

19 Etudier le financement d’une astreinte 24h/24 pour lever les navires subissant une grande avarie

C’est une demande des armateurs notamment de la pêche qui a été refusée. Le principe est simple : tout navire gravement endommagé qui risque de couler doit pouvoir être levé la nuit dans l’heure qui suit plutôt qu’au petit matin ou durant le week-end au lieu d’attendre le Lundi.

20 Soutenir la filière de déconstruction de bateaux

Nous voulons soutenir et accélérer l’émergence d’une filière de déconstruction de bateaux de tout types hors d’usage qui va s’implanter sur le port de Keroman. Cette nouvelle activité au grand potentiel économique répond aux urgences écologiques de recyclage de ces bateaux épaves.

21 Soutenir les acteurs locaux du nautisme

Une solution équilibrée avec la Sellor, gestionnaire des ports de plaisance et de services nautiques, doit être recherchée afin de contribuer à la fois au développement économique des entreprises locales du nautisme tout en offrant le même service public attractif aux usagers. Les professionnels du nautisme doivent être représentés au sein de la Sellor afin d’être impliqués dans les prises de décisions. L’aire de réparation de l’Estacade est jugée trop restreinte au vu des activités des entreprises du nautisme. Il serait donc pertinent de chercher un autre lieu afin de répondre aux attentes de ces professionnels.

22 Tendre vers un port de commerce « bio »

La principale marchandise importée est le soja transgénique qui est nocif pour les humains et la terre d’Amérique du sud jusqu’à nos assiettes en passant par la santé des marins de commerce et les dockers. Nous souhaitons donc réduire la part de cette activité mais cela suppose de rechercher, en collaboration avec les acteurs portuaires (dockers et entreprises de logistique), la Région et les acteurs de la filière agricole une diversification de l’activité du port. Nous soutiendrons la société gestionnaire du port de Lorient dans sa demande d’agrément bio pour Lorient.

Nous pourrons étudier en collaboration avec la filière portuaire la possibilité d’accueillir en escale des nouveaux armements de voiliers cargos qui renouvellent le commerce à la voile de façon moderne. Cela soutiendrait le commerce maritime écologique et solidaire et offrirait au port de Lorient une belle image éthique et un retour à son histoire de port de la Compagnie des Indes.

23 Faire de la Glacière un lieu dédié à la mer

La Glacière est un bâtiment emblématique. Nous aimerions préserver ce patrimoine industriel lorientais et la réhabiliter pour en faire un lieu public polyvalent autour de l’univers maritime, avec vue panoramique sur la rade. Nous imaginons un lieu ouvert, un lieu de croisements, impliquant l’ensemble des acteurs du territoire : institutionnels, professionnels, associatifs, académiques (Université Bretagne Sud et son institut Archipel, ESAAB, centres de formation, etc.)

24 Développer les activités autour de l’éolien offshore

Nous soutiendrons le développement de Lorient comme port de maintenance du futur parc éolien flottant de Groix.

Innovation

25 Déployer de nouvelles relations avec l’Université Bretagne Sud et l’École Supérieure d’Art

Lorient a la chance d’accueillir des établissements d’enseignement supérieur (UBS, ESAAB). Nous développerons les liens et collaborations avec ces partenaires naturels. Nous voulons nous appuyer plus fortement sur leurs compétences en matière de recherche et de formation pour construire les solutions d’avenir et soutenir l’innovation et le développement économique du territoire, en tenant compte des enjeux environnementaux et sociaux.

26 Créer un prix lorientais pour les développeurs d’applications dont le but est d’améliorer la qualité de vie des Lorientais.es

Le bien-être doit être une priorité du mandat. Aussi, toute personne qui peut en offrir du fait d’un meilleur service devrait être récompensée. Un concours peut permettre cela.

27 Soutenir la création de filières économiques locales

La ville peut soutenir l’émergence de nouvelles filières économiques en ayant une stratégie claire, une volonté d’expérimentation, de soutien à la recherche et au développement, et une prise de risques calculée en faveur des entreprises du territoire. Nous voulons nous inscrire dans une stratégie de transition écologique en favorisant des filières déjà actives, par exemple dans le cadre de l’Université Bretagne Sud (matériaux, data-sciences, mer et littoral, cyber-sécurité)

La ville peut soutenir non seulement financièrement, mais aussi en termes de mise à disposition de sites d’expérimentation, de locaux, de communication, d’achats publics, etc. Nous exploiterons toutes ces possibilités.

28 Encourager les entreprises locales dans leur démarche de transition

Favoriser les entreprises locales ayant une démarche RSE dans les appels d’offre et impulser un accompagnement spécifique pour les TPE-PME. Développer l’ingénierie en direction des TPE- PME afin de les aider à réduire leurs consommations d’énergie.

Économie numérique

29 Soutenir le développement de FabLabs et autres initiatives de coopération

Les FabLabs sont des lieux ouverts où chacun, quel que soit son niveau de connaissances, peut venir expérimenter, apprendre ou fabriquer tous types d’objets (prototype technique, meuble, objet artistique ou design, objet interactif, etc…). Ils favorisent la créativité, l’esprit de coopération, l’accès aux outils numériques (logiciels, imprimantes 3D, découpeuses laser, etc.). Nous souhaitons soutenir l’émergence et le développement de tels lieux.

30 Poursuivre la mise en place d’une filière autour du numérique

Nous voulons prendre une part active à la mise en place des actions dans le cadre du Schéma local du Numérique (avril 2019), en relation avec tous les acteurs de la filière qui représente 70 entreprises et 1150 emplois. Soutien à la création d’un lieu à partir duquel les acteurs pourront développer leurs projets, construire des synergies, essaimer leurs pratiques et diffuser leurs actions.

31 Développer l’usage des logiciels libres au sein de la mairie

Le développement du numérique suppose en parallèle de veiller à la transparence de l’usage des données. Nous chercherons à former le personnel sur l’usage des logiciels libres.

 

Économie sociale et solidaire

32 Inscrire l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) dans la stratégie de développement économique du territoire

Pour cela, il faut l’inclure dans le champ de compétence de l’agglomération et mettre en place une ligne budgétaire dédiée. L’ESS présente actuellement 13 % des emplois sur notre territoire. Qu’ils soient associatifs, mutualistes ou coopératifs, les acteurs de l’ESS représentent une économie de proximité au service de l’intérêt collectif. La Collectivité locale doit apporter son soutien aux têtes de réseaux ainsi qu’au Pôle de développement de l’ESS, aux programmes et aux actions de développement de l’ESS sur le territoire.

33 Soutenir la mise en place d’une maison de l’innovation économique et sociale

Organisés au niveau du Pays (Lorient agglo et CCBBO), les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire ont pour projet de créer une « Maison des Innovations », projet présenté dans le cadre d’un appel à manifestation d’Intérêt du Ministère de l’Égalité des Territoires et de la Fabrique à Initiatives. Elle pourrait être implantée dans l’ancien collège de Bois du Château. La Collectivité municipale et l’agglomération se doivent d’apporter leur soutien à cette initiative : participation à l’ingénierie du projet, mise à disposition d’un lieu municipal, co-financement.

34 Soutenir la monnaie locale lorientaise

La monnaie locale permet de développer une économie locale grâce à son effet de levier. Il existe une association qui gère une monnaie locale sur le Pays de Lorient, le SEGAL. Nous rendrons possible le paiement de la plupart des prestations municipales en monnaie locale (cantine, entrée piscines, Conservatoire, sport, etc…). Nous utiliserons la monnaie locale dans le règlement des appels d’offres chaque fois que ce sera possible. Enfin nous soutiendrons les associations et entreprises impliquées dans la monnaie locale.

35 Créer un annuaire, et organiser des journées de l’insertion et des métiers de l’Economie sociale, Solidaire et Ecologique

Cette mesure est destinée à favoriser la connaissance des acteurs de l’Insertion par l’Activité Economique (IAE) et ceux de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) par l’ensemble du milieu socio-économique et le grand public.

36 Créer un annuaire électronique des produits locaux et des points de vente

Favoriser la production locale suppose d’abord de savoir qu’elle existe. Afin de soutenir les commerces locaux et la production du pays de Lorient, nous souhaitons les mettre en avant, tout simplement !

Tourisme durable

37 Développer une offre touristique de week-end

Le tourisme local présente un potentiel de développement. La rade de Lorient et les activités culturelles doivent contribuer à faire de Lorient une destination de choix pour les curieux venant des territoires avoisinants.

38 Créer un parcours patrimonial

L’histoire et le patrimoine de notre ville sont insuffisamment mis en avant. Nous voulons imaginer un véritable parcours permettant de découvrir Lorient à travers différents aspects (architectural, historique, culturel, social…)

International

39 Renforcer les liens économiques avec les nations celtes

Lorient accueille chaque année des centaines de milliers de visiteurs pour le Festival Interceltique. Pourtant, passées ces 10 journées, nous n’entretenons aucune relation ou presque avec l’Écosse, le Pays de Galles, l’Irlande, les Cornouailles, les Asturies, la Galice, l’Ile de Man.

Nous créerons un rendez-vous économique visant à renforcer les coopérations avec les pays celtes (notamment dans le cadre du Brexit). À travers une politique de jumelage ambitieuse, nous souhaitons travailler les échanges commerciaux, mais aussi universitaires, culturels, sportifs…